lundi 6 décembre 2021

TOUJOURS DESSINER POUR L'EQUIPE SOIGNANTE

 

LES VOILES DE LA LIBERTE



ARMADA de ROUEN

1989


Aujourd'hui c'est pour le médecin et l'infirmier qui interviendront pour poser des stents sur des artères serrées à 52 et 70 %, le 9 décembre, que j'ai repris le thème de l'Armada des vieux gréements de Rouen d'après une photo que j'avais prise en 1989 à 6 h du matin.


"LES VOILES DE LA LIBERTE" sont la première édition mondiale des rassemblements des plus grands voiliers. 
Cette "ARMADA" s'est déroulée du 9 au 16 juillet 1989 pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française et la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen.
Pour les rouennais ce fut un événement populaire mémorable car il fit connaître Rouen et son port au monde entier et d'autres villes allaient à leur tour organiser de grandes concentrations de voiliers.





Ces 2 aquarelles en style naïf m'ont donné plus de mal que prévu à cause du format 30 X 24 cm, trop petit pour travailler les nuances : "on apprend à tout âge !"

Il faudrait que je dessine encore 5 aquarelles avant le 8 décembre mais c'est plutôt mal emmanché pour relever ce défi.

En principe, si l'intervention se passe bien, je resterais hospitalisé le 8 et 9 décembre en cardiologie. Des stents devraient améliorer l'oxygénation cardiaque mais ce n'est pas sans risque de complications puisque le sang sera rendu plus fluide alors que je suis sujet à des hémorragies.

Pour m'occuper sur mon lit d'hôpital, rien de tel que de dessiner aux crayons (aquarelle) des petits formats que j'offrirai aux soignants si toutefois cela les intéresse.





vendredi 3 décembre 2021

UN TRAUMATISME INATTENDU

-Cette belle image est une tromperie d'architecte incompétent  !-

 Depuis la fin du mois de février 2020, je suis suivi de près par des spécialistes de gastro-entérologie et de cardiologie au CHU de ROUEN et hier un taxi devait me déposer à la porte d'un service pour une petite intervention.

Il est vraiment inconcevable que l'architecte de cet hôpital n'est pas prévu un accès simple et fonctionnel pour les transports de patients par les taxis, auxiliaires indispensables pour la santé publique. Une grue géante leur interdisait l'accès à un stationnement même ponctuel pour déposer leurs patients.

Venant de subir un infarctus cardiaque le 11 novembre, j'ai été obligé de marcher 250 mètres complètement essoufflé, mes pieds pesant une tonne, pour accéder au service où j'avais rendez-vous. J'ai cru mourir !

Au retour, un chef de chantier n'a jamais voulu que je prenne un raccourci pour attendre mon taxi. J'ai bien cru que j'allais passer l'arme à gauche en refaisant 250 mètres à bout de force et au bord d'un nouveau accident cardiaque !

De toutes mes nombreuses hospitalisations pour des problèmes d'hémorragies et de crises cardiaques ce petit fait divers fut le plus traumatisant pour moi et je ne décolère pas !

Dans l'indifférence des couloirs sans pouvoir m'assoir à cause du Covid pour reprendre mon souffle j'aurais pu mourir. 

Cette nuit des cauchemars m'ont envahis pour la pire des angoisses que l'on ne peut maîtriser.

Ce chef de chantier avec son sourire bienveillant méritait mon poing dans la gueule même s'il appliquait des consignes de sécurité que je comprends !

L'architecte qui conçut l'accès des ambulances et des taxis est d'une incompétence incroyable en fondant son plan du parvis du CHU sur l'esthétique et les piétons.

Et moi, je ne suis qu'un patient qui gueule pour une fois car je veux bien mourir mais pas à cause de la bêtise !



lundi 29 novembre 2021

COMMENT REMERCIER ?

 

Venant de traverser des moments critiques avec une hémorragie digestive et un infarctus cardiaque nécessitant 12 jours de soins intensifs à l'hôpital, je veux tout simplement exprimer ma gratitude aux équipes qui m'ont pris en charge d'une façon très chaleureuse et très professionnelle.




Curieusement, j'ai mis à distance mon angoisse face à une issue problématique et c'est assez froidement et lucidement que je vis cette singulière expérience que d'être face à moi même sans échappatoire. 

La mort est une probabilité qui devient réelle à 80 ans et elle n'est supportable que par la raison philosophique. 

Changer l'espérance métaphysique me semblerait vaine : le doute m'a toujours habité ce qui m'a pas démotivé pour étudier l'admirable culture biblique que j'ai enseigné pendant 25 ans.

Elle est le pilier de la pensée occidentale et de ses courants  philosophiques. 

Quant-à la foi elle ne représente moins de 10% de mes préoccupations car je ne sais pas si Dieu est une révélation ou une invention humaine? Je ne sais pas si le néant succède à la vie ou si l'âme atteint la lumière. Cela ne m'angoisse pas !

Enfin la laïcité à la mode française me semble plus que jamais nécessaire dans notre République. 



Cet espèce de dédoublement de ma personnalité n'est pourtant pas de l'indifférence. Mes doutes métaphysiques sont demeurer intacts et ma philosophie n'a pas évoluée. J'ai simplement penser à tous ceux que j'aime et à leur peine si je m'en allais.






Soutenu par toute l'équipe médicale, j'ai pu penser à autre chose : mon corps subissait vissé sur un lit et mon esprit vagabondait  et le dessin et la peinture furent mes moyens de ne pas subir la durée.



J'ai offert au personnel qui aimait ce que je faisais ma petite production picturale réalisée aux crayons-aquarelle et une quinzaine de commandes fut enregistrée. Rentré à la maison, je ne chôme donc pas et je n'ai pas le temps de m'apitoyer sur un corps affaibli qui ne suit plus l'esprit.



Remercier ainsi ces médecins; infirmiers, aides-soignants, agents hospitaliers, c'est peu de chose et ça me fait plaisir d'avoir une petite part de moi qui demeure.



 Il ne faut pas être hypocrite, peindre c'est aussi conjurer la mort et l'oubli.

-Souvenir, souvenirs : 1975-


Oui; bientôt 80 ans ! Ma jeunesse à la recherche du mystère féminin est toujours d'actualité mais autrement. le dieu des corps s'est évaporé avec la passion, mais celui du vis-à-vis est plus que jamais tendresse et admiration... Cette gouache était au fond d'un tiroir, si elle plait autant qu'elle migre vers son destin ailleurs que chez moi.


Cette poule réalisée à l'encre est inspirée vraiment de très loin par une superbe photo de mon ami GI-Heff. 
Sur son blog, je devrais la retrouver et je gage que la comparaison ne sera pas en ma faveur mais je me suis bien amusé à faire travailler ma mémoire et dessiner n'est qu'un jeu après-tout ! 



dimanche 21 novembre 2021

PAPY FAIT DE LA RESISTANCE


 12 jours d'hospitalisation en soins intensifs dans deux services remarquables 

du CHU "Charles-Nicolle" de Rouen, au top de la recherche médicale internationale, 

ont retardé mon, aurevoir final.

Je suis rentré chez moi épuisé mais me projetant dans un avenir positif avec le moral.

- Mon Portrait réalisé par Jean-François Bressy -











Peinture


Pendant mon hospitalisation dans les pôles Hépato-Gastro-Entérologie pour des 

hémorragies et Cardiaque pour un infarctus, complètement dépendant physiquement 

même pour les gestes les plus simples, j'ai, sans amertume et vaine nostalgie, 

laissé mon esprit vagabonder pour trouver l'essentiel de la formidable aventure 

de ma chance d'avoir vécu des expériences passionnantes sur le plan associatif, 

artistique, amical et familial.

C'est donc avec un grand "MERCI à mon épouse, ma famille et à tous mes amis  

que cette exaltante tranche de vie se tourne.

La vie est vraiment une bonne chose si elle est amour et partage, tournée 

vers le futur.

Vissé sur mon lit d'hôpital, trop fatigué pour lire, j'ai pu dessiner un peu et j'ai offert

une dizaine de croquis au personnel médical me suivant. 

















Je suis revenu chez moi avec15 demandes qu'il faut réaliser. 

Autant dire que je ne me suis pas ennuyé mais j'ai ressenti qu'une maison de retraite 

ne pouvait pas me convenir et qu'il faut donc aménager notre maison pour pouvoir 

vivre sans nous séparer jusqu'au bout de notre vie.


samedi 30 octobre 2021

Roses naïves dorées

-Acrylique : format 30 X 40 cm-

J'avais en réserve ce cadre peint brun de noix et je désirais trouver un un sujet à dessiner s'accordant avec cette couleur.

J'a donc recherché une synthèse entre une influence aborigène avec des motifs répétitifs et une inspiration de l'instant pour aboutir à ces roses dorées et ses feuillages argentés sans effets de relief et au dessin cloisonné. 

C'est l'harmonie, entre le cadre et et les deux couleurs sur un fond brun de noix que j'ai recherchée. Le défi fut de rendre l'ensemble lumineux avec des couleurs plutôt ressenties comme tristes.

Merci un ami d'avoir retouchée ma photo.



vendredi 29 octobre 2021

PASSAGE ENTRE LES MORTS ET LES VIVANTS. TERRITOIRES DE SPIRITUALITE.


Mon cardiologue est sensible à L'art aborigène.
Celui-ci fait appel à de multiple symboles inaccessibles à la compréhension des occidentaux; cependant, j'ai compris que l'expression picturale du peuple premier d'Australie est un passage ouvert aux ancêtres permettant de communiquer avec les vivants sur le territoire où ils ont vécu et où leurs descendants pratiquent une "religion" (mise en relation) liée à la terre et aux rites des communications. D'où l'idée de peindre des voies d'accès, des territoires en forme de feuilles avec le cycle des saisons, ou autrement dit de la vie.
Cette composition réalisée sur de contreplaqué  à l'acrylique obéit aussi à la non utilisation des couleurs rouge et verte que n'aime pas mon cardiologue et à la répétition d'un motif à la mode aborigène.
Mon spécialiste cardiaque pourra donc choisir entre trois tableaux celui ou ceux qui lui plaise. 
Si ma peinture est agréée, ce sera un honneur d'offrir un de ces 3 tableaux à celui à qui je dois encore de survivre que je remercie de tout cœur.



Trois tableaux pour la même approche aborigène spirituelle et les mêmes passages entre les générations reliées par l'attachement à la terre. Ce fut une recherche intérieure difficile car je n'en possédais pas les clefs. Mais à force de travailler sur ce thème, j'en ai compris quelques aspects que je transpose en toute humilité, sachant que le chemin sera long avant de prétendre à le connaître.

Effectivement de dernier tableau, totalement abstrait renvoie à cette culture picturale qui permet aux vivants de faire revenir les défunts dans le présent par des rites de passages de territoires. 
Les touches de pinceaux de nuances bleues délimitent des espaces reliés à une terre ocre-rouge où l'eau est rare et précieuse.

La vie l'emporte sur la mort, la lumière sur l'ombre, la source sur désert, l'infini sur le néant.

Voila ce que je ressens en peignant à la mode aborigène.



 

mardi 26 octobre 2021

POURQUOI LE THEME DE L'ARBRE ?

 


J'ai dessiné cette-fois ci sur du papier aquarelle humide dit "Grand Torchon"'

(à grain épais 325 g/m²) cet arbre inspiré par l'art asiatique de format 40X30 cm.

Je trouve l'avantage de l'inspiration spontanée dans cette technique. Pas de retour en arrière possible, il faut y aller du premier jet : c'est bon au mauvais, c'est à celui qui regarde mon dessin de le ressentir ! 

En tout cas, je me sens à l'aise avec mes pinceaux et "l'encre Brun de Noix".

Je m'abstiens d'ailleurs de toute complication pour réussir à rendre mon dessin attractif car, "l'artiste amateur" ne doit faire "pipi plus haut qu'il ne le peut."

Pourquoi ce thème de l'arbre, en dehors du fait que je dessine sur le mode "récréatif" pour me détendre, m'intéresse tant ?

L'arbre représente dans diverses civilisations l'Univers ou le Cosmos mais il est aussi perçu comme le Roi du règne végétal.

Ce qui m'intéresse d'explorer, c'est la "symétrie entre les racines et les branches" que l'on pourrait inverser pour en comprendre l'aspect symbolique du cycle de la vie.

En effet, les racines sont le socle avec lequel elles communiquent  sur les voies de la lumière des cieux.

Mon dessin, réhaussé par l'encre ou la peinture, devient le symbole de ma personnalité en jetant un pont entre le monde invisible et celui que l'on perçoit.

C'est présomptueux et vaniteux mais je ressens intuitivement cette élévation de l'esprit pour accéder par les branches et les feuilles à une sorte de conscience pour rejoindre la part de divinité dans la mort.

Celle-ci me donne la force morale de la lucidité : mon arbre de vie est ancré profondément à la terre pour accéder à l'immortalité.

Dans 150 ans, peut-être mes descendants se rappelleront-ils qu'un de leur obscur aïeul fut  peintre ? 

C'est le sens de ma peinture et du cycle de la vie; et c'est pourquoi j'aime dessiner des arbres.



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samedi 23 octobre 2021

ARBRE


Cet arbre réalisé à l'encre brun de noix et à l'acrylique aujourd'hui, sur une toile tendue sur un châssis est traité à la mode asiatique pour donner un effet  aérien malgré le format carré dont le risque est de tasser la composition.

-Fornat = 60 X 60 cm-


C'est un genre pictural que j'aime explorer. et j'ai joué avec les contrastes et les dégradés. 

Ce tableau est destiné à être accroché dans les expositions où je suis invité.



 

samedi 16 octobre 2021

ABSTRACTION EN DAMIER



Cette abstraction en damier est directement inspirée par un artiste aborigène. 
Je voulais peindre une composition à l'acrylique avec un motif répétitif. 




Normalement je devais régater sur le plan d'eau de Montville avec mon RG65, mais des ennuis de santé m'obligent de tourner cette page importante de ma vie. 

C'est donc avec nostalgie que j'ai compensé cette frustration.
Mais j'ai trouv intéressant d'entamer ce genre de recherches picturale en limitant au maximum la gamme des couleurs. 

Même si ma composition ne peut pas nier sa filiation, je n'ai pas copier Wallala Tjapalijarri. J'ai repris à mon compte l'inspiration du moment et j'ai éprouvé bien du plaisir : c'est ce qui compte ! 

Wallala TJAPALIJARRI



samedi 9 octobre 2021

UNE CLEF CONCEPTUELLE RETROUVEE ?

 


Quand j'ai peint cette composition, inspirée par une artiste aborigène;  sur le mode pointillé, je ne me suis pas imaginé trouver un sens à ma réalisation dont j'ai "accouchée" difficilement. 

Depuis, le recul est venu éclairer cette recherche conceptuelle car, sans le savoir et sans le vouloir, j'ai littéralement plongé dans les méandres en remontant le long fleuve qu'ont tracées mes ancêtres en me donnant des racines. 

Cependant mon approche abstraite n'est pas anthropologique car il ne peut s'agir d'un désir conscient ou d'un héritage culturel puisque ce tableau répond à une commande.

Mais aujourd'hui, je ressens que je rejoins les passeurs dont la spiritualité vient de la terre, du territoire où ont vécu ceux qui m'ont précédé en Alsace et dans le Lyonnais mais profondément enraciné en Seine-Maritime où le fleuve et la mer s'unissent dans une histoire plurielle de paysans, de commerçants, d'artisans, d'industriels inventeurs, de marins explorateurs-pêcheurs, de faïenciers, d'écrivains, d'artistes...

Par ma peinture, je les relie au présent ; mais si je ne vis pas et ne pense pas comme eux, leur esprit transposé au-delà de l'imaginaire me donne la clef des profondeurs de mes racines

Ce tableau avec ses couleurs en pointillés libère d'une façon abstraite et inattendue les relations visibles entre les personnes et les choses du passé comme du présent dans mon environnement où  la terre, est unie  aux cours d'eau et à la mer.

UNE RECHERCHE INTUIVE ET DECORATIVE  :

Je continue dans cette voie humblement, car ce pays de traditions, de légendes, d'aventures et d'arts m'est chevillé au cœur., 


jeudi 7 octobre 2021

UNE MANIPULATION POUR UNE TRAHISON


LA STATUE DE NAPOLEON



-Statue de Napoléon à Rouen-



A Rouen, le maire actuel souhaite déplacer la statue de Napoléon, actuellement en restauration, sur une autre place de la ville pour la remplacer par celle de l'avocate militante franco-tunisienne, Gisèle Halimi, qui défendit les droits des femmes, autrement que Simone Veil ou Marie Curie, et ceux de fellaghas pendant la guerre d'Algérie. 



Si cette figure mérite un hommage de la part des militants féministes, elle n'est pas à mettre au même plan historique que celle de Bonaparte qui marqua profondément notre histoire et celle de l'Occident. 

Si on déboulonnait toutes les statues des grands hommes de notre passé au nom de nos idées contemporaines sur les droits de l'homme, on effacerait, comme dans les pays totalitaires, des pages entières de notre histoire. Nous ne sommes pas des talibans tout de même !

L'Histoire est ce qu'elle fut et nous ne pouvons que l'interpréter mais pas la changer.

Ces grandes figures historiques avaient, comme tout homme, une face d'ombre et une autre de lumière.

Monsieur le maire de Rouen est un élu de la République mais il n'est manifestement pas un historien. Il doit au moins respecter ce qui caractérise notre identité française bâtie par l'Histoire et l'Art.

La belle statue restaurée de Napoléon relie l'Art à l'Histoire et doit donc retrouver son socle place de l'Hôtel de ville car hier permet aujourd'hui et demain.

Un pseudo sondage très orienté est organisé, dans lequel il n'est question  que de l'hommage rendu à des femmes. Pour donner son avis sur le devenir de la statue, dont on ne parle pas.

 On peut se connecter à http://rouen.fr 

En voici, ci-dessous, l'annonce :

"Et si on statuait ?" - Concertation sur la place des femmes dans l’espace public.

La Ville de Rouen souhaite initier un large débat public autour de la question de la place des femmes et de la représentation féminine dans l’espace public. Aujourd’hui, 5% seulement des noms de rues sont féminins, et quasiment aucune rue emblématique, place, lieu très visible ne porte de nom féminin (à part la rue Jeanne d’Arc). 

A la faveur de la restauration de la statue de Napoléon 1er, la municipalité ouvre le débat. Il ne s’agit évidemment pas de déboulonner la statue de Napoléon, ni de la cacher ou de réviser l’Histoire, mais de s’interroger sur son implantation future et surtout sur l’opportunité de mettre en avant une grande figure féminine sur la place de l’Hôtel de Ville, symbole de la démocratie municipale par excellence.

La concertation "Et si on statuait ?", qui se déroule à partir d'octobre et plusieurs mois, prend plusieurs formes, dont ce formulaire d'expression".



lundi 4 octobre 2021

UNE COUILLONNADE

L'Arc de Triomphe est défiguré par des bandes de toiles, avec La Marseillaise de François Rude, les noms des soldats morts pour la Nation, effacés par l'œuvre posthume du soit disant couple d'artistes "Cristo", qui se permet de recouvrir des monuments historiques pour mieux les révéler au public.

-C'est de l'art, ça ? !- 

Comment le chef de l'Etat permit-il  une telle insulte à notre histoire, nos valeurs, notre âme nationale, notre liberté ?

-Le couple Cristo-

Phénomène événementiel éphémère telle que la publicité cette grossière toile sera heureusement bientôt retirée et aura fait couler beaucoup trop d'encre en cette période pré-électorale. Car ne soyons pas naïfs, nos valeurs sont mises à toutes les sauces de la démagogie dite démocratique.




samedi 2 octobre 2021

STATIQTIQUES DU BLOG ARTISTIQUE




Depuis son ouverture en mai 2016, se sont 21 116 pages dont 234 articles qui furent ouverts. 

Pendant le mois de septembre 2021 ce sont 389 connexions d'internautes de plusieurs pays qui marquent l'intérêt de mes correspondants . 

Et la moyenne mensuelle générale dépasse mes objectifs avec 330 connections car je ne pensais vraiment pas intéresser tant de monde.

-Aquarelle-

Il faut, en effet, resituer l'intérêt des internautes dans un contexte pas des plus favorables à la vulgarisation de la culture artistique. J'ai des amis artistes professionnels qui n'arrivent pas à vendre leurs œuvres et qui pourtant sont reconnus pour la qualité de leur expression.

La plupart ne savent pas communiquer avec le public. Soit ils sont enfermés dans leur tour d'ivoire centrés sur eux-mêmes et se masturbent l'esprit, soit ils ne ciblent pas le public capable de les apprécier.



-Acrylique-


Pourtant un artiste doit partager sa passion créative en la communicant avec un équilibre subtil entre l'image de son œuvre et l'expression originale de sa sensibilité. Car une œuvre d'art est un langage et, comme tout moyen de communication, elle a besoin d'interlocuteurs.

Certains de mes amis, pourtant des artistes confirmés, ouvrent des sites ou des blogs sans aucune audience, car ils ne savent pas  faire court, simple et fort comme les journalistes et leur site est mal conçu et écrivent pour eux-mêmes et non pour leur public.

Alors si en tant que peintre amateur, mon audience via ce blog est modeste, elle traduit cependant la fidélité des internautes français ou étrangers qui suivent mon travail.

-Acrylique-


Ne voulant pas faire concurrence aux professionnels qui vivotent, je ne vends pas mes œuvres; je les offrent bien volontiers à ceux qui les aiment et c'est ainsi que j'ai eu bien du mal à répondre à leurs commandes mais elles sont maintenant à jour et je peux enfin me consacrer à commenter les belles photographies  de Gi-Heff sur ROUEN. (Voire blog "a-rouen") 

-Aquarelle-
 

Je mesure l'honneur qu'il m'est fait quand une personne accroche chez elle un de mes tableaux.



-Acrylique-


-Acrylique-

 Peindre pour une personne, est pour moi, d'abord la respecter en cherchant à mieux la découvrir en l'écoutant, c'est ensuite m'exprimer en sachant qu'elle va accueillir mon tableau qui continuera à vivre en procurant du plaisir à ceux qui se l'approprient. 

Voila à quoi sert mon blog. 

C'est un professionnel de la communication qui le conçut et son utilisation est simple car l'outil est remarquable de clarté en mettant en valeur les œuvres.