samedi 25 septembre 2021

ETRETAT vu de la CHAPELLE DES PÊCHEURS




Deux aides-soignantes du service de cardiologie ont flashé sur mes compostions précédentes sur Etretat que je leur offre car elles m'ont beaucoup aidé.

Je voulais donc repeindre Etretat et la chapelle des pêcheurs à ma façon sans le modèle de Claude Monet.. 

Ce fut difficile de trouver un équilibre pictural et de rendre le tableau lumineux malgré le contre-jour. Je n'ai donc pas travaillé sur la réalité du couché de soleil et les falaises très sombres mais sur les accords de couleurs. Ce qui compte c'est ma composition en dehors de toute logique. C'est du naïf à ma main comme je le ressens.

Pour l'anecdote, la Chapelle des pêcheurs est à vendre ! Curieuse façon de respecter la tradition des marins pêcheurs et leur patrimoine !

Corbleu ! ETRETAT, c'est vraiment difficile à peindre mais intéressant car je suis confronté à mes limites techniques qu'il faut dépasser. J'ai travaillé 7 jours sur ce tableau ce qui met l'accent sur les tâtonnements, les imprévus, les embarras, les obstacles rencontrés

C'est ma petite-fille de 9 ans qui me le demanda.




mardi 21 septembre 2021

AU CHU CHARLES NICOLLE




"Bonjour monsieur Richard,"

 

"J’espère que vous vous portez bien.

Vous trouverez ci-joint la photo de votre œuvre exposée dans le salon des familles de l’unité Laubry + USC dont j’ai la charge.
Je vous souhaite de passer une belle journée.

Bien cordialement."

                                                                M-C. Heintz 


Hé bien quel honneur pour l'artiste amateur que je suis !
 
Je ne pensais pas en remerciant ce service de cardiologie, absolument remarquable, par cette  acrylique qu'elle serait exposée au public. Je voulais juste exprimer ma gratitude sans aucune prétention. 
 
Pour la petite histoire, l'officier d'Etat Civil, quand mon père a déclaré ma naissance le 28 janvier 1942 à la mairie du 6ème arrondissement de Lyon, a oublié de mettre un trait d'union à mon prénom. Cela m'a joué des tours administratifs pas du tout agréables jusqu'à l'âge de 60 ans où mon notaire m'a signifié l'erreur. 
Je m'appelle donc officiellement Jean RICHARD.
J'ai cru par exemple que je n'étais pas reçu à l'université, que j'avais rater des examens, et je me demandais pourquoi j'avais des difficultés à obtenir des documents officiels... Bref, il vaut mieux le prendre avec le sourire mais à l'hôpital ma situation balançait entre Jean et Jean-Louis pour mes dossiers... C'est pour cela que je signe mes tableaux toujours avec mon prénom usuel sans trait d'union.