mardi 29 mai 2018

Nouvelle aquarelle : "Le fauconnier"

Aujourd'hui, j'ai réalisé avec les conseils d'André Le Noir ce "Fauconnier". Mon but est d'améliorer la technique du portrait en multipliant les difficultés techniques.

Le Fauconnier, façon André Le Noir
à vendre avec son cadre en bois naturel clair (56 cm X 43,5 cm)

LE REPENTIR !
"On n'y touche plus !" C'est ainsi que mon mentor me signifia que le portrait était achevé...Et pourtant,une fois revenu à la maison, j'ai tout de suite ressenti l'urgence de me remettre au travail car la bouche et la barbe n'étaient pas bien centrées. Donc les cotons tiges et les pinceaux entrèrent en action et une heure plus tard, le visage avait trouvé un nouvel équilibre. Cette action de reprendre une peinture s'appelle "le repentir" et signifie bien ce qu'elle veut dire. 
OUF ! le tableau est sauvé et bien malin celui qui s'apercevra de mes tourments picturaux...J'aime assez désobéir à mon maître aquarelliste tout en reconnaissant qu'il a souvent raison mais pour une fois, j'ai bien fais "de me repentir" et d'en faire qu'à ma tête...
Ce fauconnier m'ouvre aussi la porte sur cet art du dressage des rapaces et j'ai trouvé sur Internet des articles intéressants.
UNE PASSION :

"Le quotidien du fauconnier" (d'après Internet)

"Avez-vous déjà rêvé de faire voler un oiseau de proie ? C’est le quotidien du fauconnier qui passe la plus grande partie de son temps à dresser des rapaces (faucons, buses, aigles ou encore éperviers). Pourquoi faire ? A l’origine, la fauconnerie était l’art de capturer un gibier dans son milieu naturel à l’aide d’un oiseau apprivoisé. Bien que pratiqué dans une quarantaine de pays et inscrit au patrimoine de l’UNESCO, cet art très ancien n’existe presque plus. La fauconnerie est pratiquée dans deux autres domaines : l’effarouchage et la démonstration publique (dans un zoo, un parc d’attraction, lors d’un spectacle, etc.). Dresser ces animaux n’est pas une affaire facile, contrairement à ce que l’on pourrait croire. Cela demande beaucoup de travail, de la patience et un lien particulier avec les oiseaux."

"L’effarouchage"

"Il s’agit aujourd’hui de la principale activité des fauconniers qui consiste à faire peur aux espèces indésirables que l’on peut qualifier de nuisibles. Dans les aéroports, il empêche par exemple la collision d’un oiseau avec les avions. Il intervient dans les industries ou pour la protection de quartiers ou de monuments. Le fauconnier doit avoir un sens aigu de l’observation pour pouvoir évaluer l’effet de ses oiseaux sur les nuisibles et faire un diagnostic sur les chances de récidive."

Rendez-vous sur Internet avec le mot d'entrée "fauconnerie" : d'intéressantes vidéos sont proposées...