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L'élection présidentielle est l'occasion de cette caricature politique à laquelle je n'ai pas pu résister.
L'élection présidentielle est l'occasion de cette caricature politique à laquelle je n'ai pas pu résister.
Une déception : mon épouse n'a pas reconnu l'ancien et le nouveau Président de la République : soit je suis très mauvais, soit elle n'y connaît rien !
En fait, elle me ramène au niveau que je suis : un amateur qui veut faire pipi plus haut qu'il ne peut !
En tout cas j'espère que le vrai changement sera réel et que les français désespérés vont pouvoir être à nouveau fiers de le nation, de leur devise et que leur espérance en un renouveau politique ne sera pas déçue. J'ai envie d'avoir confiance. Soit Macron réalise qu'il a rendez-vous avec l'Histoire en se lançant dans les réformes nécessaires, impératives pour l'avenir de la nation; soit il cherche à renouveler son mandat en 2022 en faisant comme les autres et le rance continuera à dégringoler. L'intelligence ne suffit pas en politique, l'audace et le courage exigent le pragmatisme face à la réalité. J'espère avoir raison d'avoir confiance...
J'ai lu un ouvrage passionnant d'Anne FULDA que je conseille à mes amis : "Emmanuel MACRON; un jeune homme si parfait. Le vrai visage du nouveau Président" aux édition PLON. 206 pages très intéressantes dressent un portrait inédit de cet homme de 39 ans devenu le chef de l'état.
Ne voyez aucune mauvaise intention de ma part à associer cette caricature au lavis des éboueurs et des vidangeurs, et pourtant on a besoin dans notre temps d'incertitudes, d'angoisses de mettre à la poubelle toutes les vieilles recettes politiques qui n'ont pas marché... A gauche comme à droite, le risque de la tentation du populisme est redoutable. Les vieux crocodiles, ou routards politiques, ont été renvoyés chez eux (parfois injustement) par le peuple qui ne peut plus croire en leurs paroles. D'ailleurs nous souvenons-nous de ce disait le dernier Président de la République ? Il faisait des discours remarquables sur la forme mais dont on ne retenait rien car il n'était pas socialiste ni sincère dans le fond de lui-même. Il n'était obsédé que par la politique et lui-même... C'est cruel de dire cela mais c'est tellement vrai ! Les gens simples pour ce président de la République n'étaient pas "jojos", les pauvres n'étaient que des "sans dent" : le mépris le plus froid l'habitait pour l'humble peuple qui votait pourtant pour lui. Son échec est à la mesure de sa personne et de notre désespérance !
Soyons justes pour dire qu'il a tout de même tiré la sonnette d'alarme sur le climat et la nécessité d'un engagement mondial sur l'écologie... Mais l'oubli ingrat et médiocre nous gagnera et son mandat passera aux oubliettes de l'histoire. L'Histoire de France ne retient que ses grandes figures qui marquent chaque siècle. Du XXème siècle Charles de Gaulle restera mais dans cent ans, le nom des autres présidents de la République sera effacé de la mémoire populaire.
N'est-ce pas dangereux pour une expression qui se prétend liée à l'art de se dévoiler ? J'en prends le risque sur ce site très personnel.
Ne voyez aucune mauvaise intention de ma part à associer cette caricature au lavis des éboueurs et des vidangeurs, et pourtant on a besoin dans notre temps d'incertitudes, d'angoisses de mettre à la poubelle toutes les vieilles recettes politiques qui n'ont pas marché... A gauche comme à droite, le risque de la tentation du populisme est redoutable. Les vieux crocodiles, ou routards politiques, ont été renvoyés chez eux (parfois injustement) par le peuple qui ne peut plus croire en leurs paroles. D'ailleurs nous souvenons-nous de ce disait le dernier Président de la République ? Il faisait des discours remarquables sur la forme mais dont on ne retenait rien car il n'était pas socialiste ni sincère dans le fond de lui-même. Il n'était obsédé que par la politique et lui-même... C'est cruel de dire cela mais c'est tellement vrai ! Les gens simples pour ce président de la République n'étaient pas "jojos", les pauvres n'étaient que des "sans dent" : le mépris le plus froid l'habitait pour l'humble peuple qui votait pourtant pour lui. Son échec est à la mesure de sa personne et de notre désespérance !
Soyons justes pour dire qu'il a tout de même tiré la sonnette d'alarme sur le climat et la nécessité d'un engagement mondial sur l'écologie... Mais l'oubli ingrat et médiocre nous gagnera et son mandat passera aux oubliettes de l'histoire. L'Histoire de France ne retient que ses grandes figures qui marquent chaque siècle. Du XXème siècle Charles de Gaulle restera mais dans cent ans, le nom des autres présidents de la République sera effacé de la mémoire populaire.
N'est-ce pas dangereux pour une expression qui se prétend liée à l'art de se dévoiler ? J'en prends le risque sur ce site très personnel.
Ma deuxième petite-fille, Albane, m'ayant glissé dans le creux de l'oreille qu'elle aimerait bien, comme sa cousine Bérénice, recevoir une girafe, je me suis empressé de lui faire plaisir :